Le 13 novembre 2024, la capitale ivoirienne a été le théâtre d’un événement marquant pour le Tchad et l’Afrique. Le Dr Boukar Michel, Ministre tchadien des Communications, de l’Économie Numérique et de la Digitalisation de l’Administration, a été distingué par un Doctorat Honoris Causa, une reconnaissance prestigieuse décernée par l’Institut Africain de Recherche Pluridisciplinaire Appliquée (IARPA) et le Centre de Promotion des Valeurs Tunisiennes (CPVT).
Parmi une trentaine de lauréats issus de seize pays africains, Dr Boukar Michel a été le seul Tchadien à recevoir cet honneur, symbolisant l’impact de son engagement en faveur du développement durable et de l’innovation en Afrique. Cette distinction vient couronner une carrière marquée par des initiatives de transformation numérique et des politiques novatrices pour moderniser l’administration publique tchadienne.
Le Doctorat Honoris Causa, créé en 1918 par les universités françaises, est réservé à des personnalités étrangères ayant apporté des contributions remarquables aux sciences, aux arts, ou à la société. Cette reconnaissance attribuée au Dr Boukar Michel met en lumière ses efforts constants pour faire avancer l’Afrique sur les plans économique et technologique.
En acceptant cet honneur, Dr Boukar Michel a exprimé sa gratitude envers le peuple tchadien et ses partenaires africains : « Cette distinction n’est pas seulement la mienne, elle appartient à tout le Tchad. Elle reflète notre vision commune pour un avenir africain plus prospère et numérique. »
Un modèle pour la jeunesse africaine
Dr Boukar Michel devient ainsi un modèle d’excellence et d’engagement pour la jeunesse africaine. Son parcours témoigne de la capacité des leaders africains à relever les défis contemporains en favorisant la coopération régionale et l’innovation.
L’événement a également souligné l’importance de renforcer les partenariats interafricains pour atteindre les Objectifs de Développement Durable, une cause que le Dr Boukar Michel défend avec ferveur.
Ce Doctorat Honoris Causa marque non seulement une étape dans la carrière du ministre, mais aussi un signal fort pour l’Afrique, affirmant que le continent regorge de talents capables d’inspirer et de transformer.
MKA
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