Elles sont veilles, jeunes, veuves et filles mères dans les zones rurales se donnent à la culture maraichère et l’agriculture pour subvenir à leur besoin quotidien. Elles nombreuses qui refusent t’attendre des hommes de quoi pour leur besoin.

Un tour dans les villages périphériques et les bords des fleuves de la capitale Tchadienne, vous aurez surpris de ce que vos yeux peuvent voire. Les femmes têtes baissées sur les planchés des cultures maraichères bêchent et arrachent les herbes sous leurs oseilles, carottes, pastèques, gombo et autres qui constituent une source des revenues pour elles pour se prendre en charge.

Sous le soleil ardent, elles s’en moquent des rayons solaires qui leur frappent au dos, mais l’objectif fixé est de réussir à leur culture. Certaines pratiquent leur culture maraichère dans des zones ou pour avoir l’eau il faut le puiser de loin, malgré ça elles ne découragent pour le transporter jusqu’à leurs planchés.

Aujourd’hui, ces femmes nourrissent leur famille sans aller mendier ou se faire prostituer qui sont des actes des humiliations. Celles-là ont besoin d’un accompagnement par les ONG et le gouvernement pour qu’elles soient indépendantes afin d’encourager les autres femmes à suivre leur exemple.

Au Tchad, il y a plus des projets qui se disent se soucieux de l’indépendance des femmes qui pratiquent l’agriculture et les cultures pour les accompagner dans leurs activités brillent par leurs absences aux côtés de celles-là. D’ores et déjà le moment où les nouvelles autorités tchadiennes de la seconde phase de la transition mettent un accès particulier dans l’accompagnement de ces femmes qui veulent vivre aux sueurs de leurs fronts.

Celles-ci ont besoin des matériels et des forages pour accroitre leur production, mais malheureusement elles sont limitées et n’arrivent pas à produire une quantité suffisante pour augmenter leurs recettes. Un coup de cœur est lancé à l’endroit des partenaires au développement rural pour leur venir en aide.